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    As de Nîmes type 4, de 10 à 14

    Ap.Jc :

     

    As2
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    Diamètre : 25 mm.
    Poids : 12,16 g.
    Provenance : Hérault.

    Avers : Deux têtes adossées, à droite celle d'Auguste couronnée de chêne et à gauche celle d'Agrippa avec la Couronne rostrale d'or suprême récompense pour ses exploits militaires ; IMP DIVI F P P (Imperator Divi Filius Pater Patriae - Empereur Fils du divin Père de la Patrie).
    Revers : Crocodile à droite enchaîné à un palmier. Le palmier est orné de deux bandelettes flottantes à droite et d'une couronne de chêne à gauche, à partir de son pied poussent deux rejetons à gauche et à droite ; COL NEM (Colonia Nemausus - Colonie de Nîmes).

    Monnaie en triste état, mais parfaitement identifiable malgré tout.
    Un P est nettement visible à gauche, devant le portrait d' Agrippa, ce qui permet de classer cet As dans le groupe 4, lui seul comporte les lettres P P (Pater Patriae = Père de la Patrie) devant les bustes.
    Le titre honorifique de Père de la Patrie a été attribué à Auguste en -2 avant J.C.


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    Médaille de Notre Dame d' Itrie

    (Italie) / Saint Jean-Baptiste XVIIè :

     

    Médaille Notre Dame d' Itrie
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    Dimensions : 30 x 25 mm.
    Poids : 4,11 g.
    Provenance : Hérault.

    Avers : St.Jean Baptiste baptisant le Christ agenouillé, tenant une Houlette (Bâton utilisé par le berger) autour de laquelle s’enroule le phylactère (un rouleau de papier) avec les mots Ecce Agnus Dei qui signifient « Voici l’agneau de Dieu » ; au dessus l' Esprit Saint symbolisé par la Colombe.
    Revers : Deux personnages debout portant des bonnets frigiens, soulevant une statue représentant le buste de la Vierge Marie en prière, les bras tendus ; M.D ITR IA. (N.D.d' Itrie).

     

     
     
    Le Baptême du Christ (1643). Huile sur toile 235 x 160 cm de José de Ribera, Musée des Beaux-Arts, Nancy. 
    Selon la mythologie religieuse, le Christ a été baptisé dans le fleuve Jourdain par Jean le Baptiste qui est considéré comme un prophète par les chrétiens et les musulmans.
    En savoir plus sur :
     
     

      Alors que le peuple d'Israël fuit l’Égypte et  traverse le désert, il exprime ses doutes et son découragement face aux épreuves subies.  Le serpent devient alors la manifestation à la fois du châtiment de Dieu et son remède, il punit et il guérit. Le serpent d'airain fixé sur un poteau rappelle la figure du bâton d'Asclépios ou encore le caducée, et les chrétiens la compareront à la croix du Christ.

     


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